Un retour aux sources pour Jules Hoffmann
Personalités
Quelque 165 km séparent Echternach, où il est né, de Strasbourg, où le co-lauréat 2011 du prix Nobel de médecine et de physiologie a effectué la majorité de sa carrière. Pourtant, Jules Hoffmann reste très attaché au Grand-Duché. Il y a effectué une partie de son cursus, jusqu’aux cours universitaires» du Lycée de garçons de Luxembourg, au Limpertsberg.
Il a néanmoins dû le quitter, car à l’époque, il n’y avait pas de possibilités, d’argent, pour la recherche au Luxembourg. Cependant, ses années dans le pays lui ont beaucoup apporté. Le plurilinguisme luxembourgeois m’a aidé dans ma carrière, notamment dans les années 70 on l'on ne parlait pas du tout anglais dans le milieu français de la recherche»
«Il me reste une large part dans mon cœur pour le Luxembourg»
C’est aussi pour cela qu’il a accepté l’invitation de la société luxembourgeoise pour la microbiologie où il est exprimé récemment. «Je considère que cela fait partie des obligations, car c’est le Luxembourg qui m’a lancé. Il me reste une large part dans mon cœur pour lui» souligne Jules Hoffmann.
Il n’a pas vraiment pu transmettre la langue à ses descendants, même s’ils connaissent certains mots, certaines expressions. Cependant, il leur a laissé en héritage luxembourgeois, la culture du travail, du compromis et une certaine modération. Source: L'Essentiel.lu
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Die Zahl unserer Luxemburger Meister auf dem Gebiet der Porzellanmalerei und Keramik ist nicht eben gross; umso stolzer können wir auf die sein, welche, wie der Echternacher Porzellanmaler und Keramiker Anton Jans, sich einen ehrenvollen Namen gemacht haben im Inland sowohl wie im Ausland. Anton Jans wurde geboren zu Echternach am 28. Januar 1868 als Sohn des aus dem Hötel du Cheval blanc (später Hötel Universel) stammenden Landwirtes und Fuhrmannes Michel Jans, geboren zu Echternach am 27. 12. 1834.
In Echternach konnten sich die Räte an jenem 10. Apriltage nicht einigen. Man bedenke auch, solch ein gewaltiges Problem in der damaligen Zeit! Und dazu verlangte der Mann, der die Gemeindeväter vor solche Verantwortung zu stellen wagte, auch noch das Ausbeutungsrecht der Anlagen, die zum Teil auf öffentliche Kosten errichtet werden sollten, für nicht weniger als 19 Jahre! Das war nun doch zuviel für die weisen Väter und sie taten, was man auch heute noch in schwierigen Affären tut, sie vertagten die Diskussion und erst recht die Abstimmung um „weitere Informationen" ein-zuholen. Auf der nächsten Sitzung, die nur ein paar Tage später stattfand, kam man auch nicht recht weiter.